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    Intentions de retraits massifs en espèces à partir du 7 -12 -2010.

    Voir ICI :         

    Cette opération internationale va atteindre 2 objectifs : 

    1°)  Signifier aux banques qu'elles seront acculées à la faillite le jour où les masses laborieuses (petits patrons et salariés) en décideront ainsi. Donc, à partir du 7 décembre, disons à nos banques (au guichet, par lettre, mails sur leur site internet, etc…) de tenir à notre disposition X milliers d'euros en espèces que nous viendrons retirer le 10, le 11, le 12  décembre, etc. Il nous sera objecté patati, patata. En insistant beaucoup, le banquier finira par avouer que notre argent n'est pas disponible.

    2°)  Apprendre ainsi au plus grand nombre que l'humanité toute entière est victime d'une gigantesque escroquerie parce que les banksters inventent 95% de la monnaie qui circule dans le monde. Ce qui veut dire que la soi-disant dette des nations n'existe pas en réalité. (1) L'Etat français nous fait payer des impôts pour pouvoir verser chaque jour 150.000.000 d'euros d'intérêts aux banksters (oui, vous avez bien lu 150 millions d'euros), pour une dette fictive.

    L'opération Stop banques (Bankrun dans le monde anglo-saxon) aura, à terme, le même effet d'assainissement que les révélations de Wiki Leaks qui amènent des dirigeants mondiaux à qualifier de "crime contre l'humanité" (dixit Hillary CLINTON), la révélation de…. leurs multiples crimes. L'imposture est criante !

    En France, nous aurons le plaisir d'entendre nos dirigeants (qui se gavent et jette notre argent par les fenêtres) nous dire avec leur extrême hypocrisie habituelle que c'est nous, nous les véritables producteurs de biens  et de richesses, qui détruisons l'économie du pays !

    Faites suivre à tous vos contacts : vous aurez, en quelques clics, bien travaillé pour laisser à nos enfants un monde meilleur.

    (1) « Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n'hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents »

    La crise mondiale aujourd'hui, Maurice Allais, « Prix Nobel » de Sciences Économiques 1988. Ed. Clément Juglar 1999.

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