à "créer" sans péril on triomphe sans gloire ! à l'attention des imposteurs de la création artistique

 

 

Encore et toujours des spectacles blasphématoires prenant l’image du Christ ou la Croix comme motif de pseudo « création » ! (voir ICI l’article que j’ai déjà écris à ce propos à l'occasion d'un de ces spectacles au cours du dernier festival d'Avignon)  

Quelle insanité !

En vérité ces spectacles ne sont que la pitoyable démonstration de ce que le manque de talent peut donner quand un Jean-Foutre est prêt au pire pour réussir dans une société, la nôtre, qui a perdu tous ses repères ! Une société tellement corrompue, qu’il suffit d’oser désigner comme de l' « art » des spectacles monstrueusement blasphématoires, sans respect pour les millions de fidèles chrétiens qui, contrairement aux fidèles d’autres religions, n’ont que leur douleur pour se défendre.

La chrétienne que je suis, profondément blessée évidemment par ces croix qui baignent dans de la pisse, ou cette effigie du Christ profanée par des arrosages de matière ressemblant (ou étant peut-être qui sait ?) à de la matière fécale, quand on ne demande pas à des enfants innocents (double blasphème !) de la caillasser en hurlant « Tu n’es pas mon berger ! », s'interroge : pourquoi ces pseudo « créateurs » n’agissent-ils pas de même avec des symboles musulmans ou juifs ?

Les musulmans ont réussi à faire interdire des masques de carnaval à l’effigie de l’imam Khomeiny  ou de mahommet ou de quoique ce soit qui touche à leur religion ! Tout à commencé  il y a 30 ans au carnaval de Nice. Les responsables avaient obtempéré à la levée de bouclier des "fidèles" musulmans et le masque à l’effigie de Khomeiny avait été retiré rien que çà ! Et depuis 30 ans, non seulement rien n'a changé mais ça empire de jour en jours ! La France s’écrase comme une carpette aux exigences de plus en plus nombreuses des musulmans, sous le faux prétexte de « respect de la sensibilité religieuse » !  On sait bien que la véritable raison de ce soi-disant "respect", c’est la peur d’actes de terrorisme, que les musulmans même « modérés » savent utiliser avec une habileté O combien efficace !!

Itou pour les juifs ! Pas question de les offenser en arrosant de merde ou de pisse l'étoile de David ou une effigie de Yavhé au risque de provoquer un incident diplomatique qui fermerait le robinet du pognon des banques, dont la plupart appartiennent à des juifs, sans oublier l'immanquable rappel des 6 millions de juifs victimes de la Shoa qu'on déclarerait odieusement offensées par un spectacle du genre de celui qui souille MA religion chrétienne ! Entre parenthèse, il est bien dommage que la France ne prenne pas autant de gants avec les millions de roms (gitans) qui ont fini leur vie eux aussi dans les camps de la mort nazie et dont la France continue de persécuter les descendants, qu'on expulse à qui mieux mieux, même ceux qui sont français (!) comme si leur présence nous empêchait de vivre !

L’hypocrisie de la France sur ces thèmes de religion et les véritables motifs qui font que le gouvernement réagit au quart de tour pour les uns et devient sourdingue quand il s’agit de certains autres, est aussi immonde, et je pèse mes mots croyez-le bien, je répète donc IMMONDE, que les spectacles qui m’ont incitée à écrire cet article !

Evidemment avec les chrétiens, aucun risque de voir Paris transformé en champ de bataille, ou la galerie « d’art » où sont exposés des œuvres blasphématoires pulvérisée par une bombe, ou encore les auteurs de ces spectacles orduriers envers Jésus victimes d’une fatwa !

Aucun risque non plus de voir les riches mécènes qui financent ces spectacles orduriers couper les vivres des Jean-foutre sans talent, dont ils alimentent abondamment les caisses pour leur permettre de souiller MA religion chrétienne ! A ce propos il serait intéressant de connaître la source financière de ces spectacles de l'ignominie ? 

S’en prendre aux symboles chers aux chrétiens est, évidemment, beaucoup moins dangereux que de s’en prendre aux symboles religieux, musulmans ou juifs ! Voilà pourquoi la sensibilité religieuse des chrétiens, en France et partout où ces représentations blasphématoires sont exposées, tout le monde s’en fout !

Avec les chrétiens donc, aucun risque d’actes terroristes ! Notre Dieu ne nous a pas dit de faire la guerre aux « infidèles », ou affirmé que les « gentils » étaient juste bons à errer sans fin dans la vallée du Shéol, mais simplement de tendre l’autre joue quand on nous donne une gifle, quelle que soit la religion de celui qui nous frappe. Notre Dieu est pourtant le même que celui des musulmans et des juifs, mais notre coeur de chrétien a sans doute été plus réceptif à la pureté du véritable message de ce Dieu miséricordieux et compatissant, doux et humble de coeur, au nom duquel à l'aube du XXIe siècle, les hommes continuent de s'étriper allègrement ...   

Du coup, il est clair que la religion chrétienne est sans danger pour les lâches qui vont chercher leurs inspirations « artistiques » dans les égouts les plus puants de leur abyssale médiocrité !

Ces soi-disant « artistes » qui ne sont en fait que des provocateurs vulgaires, sans talent et qui n’existent que par le scandale, tout comme les snobs qui les applaudissent dissimulent derrière un sérieux de façade leur ignorance crasse de ce qu’est l’Art véritable, tous ceux là ne sont que des lâches ! Des pantins dérisoires, superficiels, inexistants aussi bien en tant qu’êtres Humains qu’en tant qu’Artistes ou Amateurs d’Art, cet Art dont ces misérables sont incapables de reconnaître où il se trouve réellement, car, grâce à Dieu, l’Art véritable continue d’exister, bien au-dessus de ces parasites !

J’invite vivement ces pseudos « créateurs d’art » de corser un peu la difficulté en prenant le Croissant musulman ou l’Etoile de David, les plonger l'un et l'autre dans un cadre rempli de pisse et les exposer ensuite dans une galerie "d'art" de NY ou d'ailleurs ...

Et tant qu’ils y sont, qu'ils remplacent, sur la scène des théatres où se jouent ces immondes parodies, l'image du Christ par celle de Mahommet ou du Roi David et les aspergent de matière fécale tout en les faisant caillasser par des enfants innocents, à qui l'on fera bien évidemment hurler des blasphèmes ?

Puisque tout çà c’est de « l’art moderne » que ces pseudo s"artistes" osent, s'ils ont quelque chose dans leur froc, étendre leurs visions "créatrices" fécales à la religion musulmane et judaïque, ça fera des vacances aux chrétiens !

Je sais que certains lecteurs vont me traiter de "raciste" ou "d'anti sémite" après avoir lu cet article, à ceux là je réponds que s'ils pouvaient mesurer à quel point je suis inaccessible à ce genre de réflexion, ça leur donnerait une idée des limites de l'infini. Non par orgueil ou par vanité, mais tout simplement parce que je ne souffre d'aucun syndrome de racisme, surtout pas de celui qui sévit le plus à gauche (et je suis une femme de gauche) le racisme dit "positif" qui est, à mon humble avis, le pire qui soit ! -cqfd- 

Pour conclure on peut se demander ce que fait le gouvernement français ?  Jusqu’où la France va t’elle laisser insulter le christianisme avant de réagir avec la même fermeté qu’elle le fait depuis 30 ans avec les musulmans et les juifs, à qui tout est permis dès qu’il s’agit de leurs us et coutumes religieux ?

 

 

NB : Le nombre de chrétiens sur Terre se situe entre 2,23 milliards^[] et 2,3 milliards ^[]de croyants dans près de 33 000 confessions différentes. Depuis le roi Clovis (466-511) la France est de confession chrétienne. Suite à un recensement en 2009 il est établi que 64% des français, soit 41,5 millions, se déclarent « chrétiens ».  

 

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Pour comprendre l’indignation des chrétiens du monde entier

voilà en quoi consiste ces nouveaux spectacles qui font florès depuis quelques mois :

 

Deux spectacles blasphématoires programmés en France à la rentrée susciteront l'indignation de tout chrétien digne de ce nom.

- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à (...) ndlr : j'efface exprès les dates, les voyeurs qui auraient envi de découvrir ces monstruosités n'ont qu'à se renseigner ailleurs ! Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche "absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".

Si, dans le dossier de presse de ce "Golgota picnic", Rodrigo Garcia explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c'est nu que le chef d'orchestre italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".

Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)". ndlr : quand un type comme ce Rodrigo Garcia vous traite de "bête" c'est un compliment pas une insulte... sauf pour les bêtes à plumes, à écailles et à poils qui sont bien plus intelligentes qu'un Rodrigo Garcia !

- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, (...) ndlr : même motif pour la suppression des dates ! 

La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").