• thierry Bachelay Port-Vendres

    Un fou furieux sévit à Port-Vendres, menace la vie d’un paisible citoyen et comme toujours la Justice ne fait pas grand-chose, c’est incompréhensible !
    Si un jour ça finit mal, les forces de l’ordre et la Justice ne pourront pas dire qu’elles ont été prises au dépourvu, il est clair quand on lit l’article de l’Indépendant que l’individu mal intentionné est connu de tous et ne se cache même pas !
    Alors ? Qu’est-ce qu’on attend pour interpeller ce malfaisant et le mettre en garde à vue pour l’empêcher de nuire, en attendant de le faire passer en jugement ? Il faut attendre que Thierry Bachelay, la victime, soit blessé ou pire ? Il y a de quoi s'arracher les cheveux quand, malgré tous les témoins, l'évidence que même les gendarmes savent que ce sale type n'en est pas à son premier mauvais coup, bien au contraire, il semble que ce soit dans ses habitudes de harceler et menacer ceux qu'il considère comme des "concurrents"(!), les autorités baissent les bras sous prétexte je cite : "On a tout essayé. De discuter. De calmer les esprits. Mais..." Incroyable ! Sur quelles puissantes officines cet individu peut-il s'appuyer pour être à ce point intouchable ? On sait que dans ce pays il suffit d'avoir des "amis" bien placés pour bénéficier d'une sorte d'immunité non officielle mais néanmoins très efficace, quelles sont celles qui protègent ce triste personnage !!

    Mon opinion est que la raison qui motive ce dangereux détraqué, est la jalousie. Non seulement cet individu ne supporte pas la concurrence, mais voilà que Thierry Bachelay en plus d'être un concurrent, est aussi champion du monde de nage en apnée, de quoi rendre fou furieux une personnalité portée à la violence !
    Cette affaire, dénoncée aujourd’hui par voie de presse mais qui a débuté il y a 3 ans, lors de l’installation de thierry Bachelay comme pêcheur d’oursins à Port-Vendres, est scandaleuse à plus d’un titre, dont le pire est le laxisme incompréhensible de la Justice à punir le coupable, j’ai honte que cette lamentable histoire se passe chez moi, en Catalogne nord !



    Ci-dessous l’article de l’ INDÉPENDANT

     

    "Stop. Une seule personne ne peut pas semer la zizanie en toute impunité dans tout le port. On ne peut pas continuer à se taire". Révolté, Thierry Bachelay a choisi de briser le silence. Pêcheur d'oursins, connu aussi comme recordman du monde de nage en apnée, il propose ses crustacés sur les marchés du département et auprès des restaurateurs. Depuis trois ans, il a obtenu une petite loge sur le quai de Port-Vendres et l'autorisation d'installer quelques planches et tréteaux pour vendre le fruit de sa pêche. Le début des ennuis...
    Aspergé d'essence
    Son arrivée n'a visiblement pas été appréciée par un concurrent. "Il croit que tout est à lui. Que le port lui appartient. Que la mer lui appartient". Une histoire qui pourrait être drôle et pagnolesque si elle n'était pas devenue très épineuse et n'avait pas failli chavirer dans le drame le 6 septembre dernier.
    "Il était 6 h 30. J'avais ouvert beaucoup d'oursins et il y avait des touristes, des enfants autour. Il a surgi de derrière le camion avec un seau rempli de liquide. Sans parler, sans rien, il me l'a jeté dessus. En deux secondes, j'ai compris que c'était de l'essence, que le danger venait d'arriver sur moi. Là, il m'a donné un énorme coup de pied dans la cuisse. Il m'a dit : "Je t'avais prévenu de ne pas venir", en me montrant le poing et avec un briquet à la main. Je me suis dit : "Si j'entends le moindre crac, je saute dans le port". Puis, il est reparti avec sa voiture".
    Les témoins ont alerté aussitôt les gendarmes des affaires maritimes qui se sont rendus sur les lieux et ont enregistré sa plainte dès le lendemain pour "violences suivie d'incapacité supérieure à 8 jours", en l'occurrence 9 jours prescrits à Thierry Bachelay par le médecin.
    L'oursinier ne reprendra pas son activité sur le port. "Je ne suis pas en sécurité, ni mes clients. Tous les organismes du port, de la mairie, de la gendarmerie ont fait ce qu'ils pouvaient, mais ça n'a rien changé". Le responsable du port, qui passe sur les lieux, confirme: "On a tout essayé. De discuter. De calmer les esprits. Mais...».
    Six mois sans activité
    L'auteur présumé des violences a finalement été convoqué fin novembre devant un délégué du procureur et a fait l'objet d'un simple rappel à la loi. "Jusqu'à quelle limite on peut emmerder les gens ? On s'en prend à mon outil de travail, jusqu'où ça peut aller ? Ce serait con d'aller mourir pour une douzaine d'oursins ! En plus, c'est fou, il ne s'agit pas d'une dispute professionnelle. On n'a jamais eu de conflit. On ne s'est même jamais parlé. Je suis chanceux, je suis amoureux de mon travail, mais là j'ai un goût amer. Tout le monde sait ce que fait ce gars, il est connu de tout le bassin méditerranéen et il passe à chaque fois à travers les mailles du filet".
    Thierry Bachelay ne décolère pas. D'autant qu'après six mois d'interruption, il a décidé la semaine dernière d'aller réinstaller son étal sur le quai de Port-Vendres. Et jeudi dernier, en arrivant, il a eu la mauvaise surprise de découvrir qu'un bidon de vidange avait été déversé devant la porte de sa loge. Une pique de trop...


    Yahoo!

    votre commentaire